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Usure Poguthey

Contexte de la chorégraphie
Dans le cadre de son tout premier solo du Battle (dont vous pouvez avoir toutes les informations ici), Mouki voulait quelque chose de proche d'elle et de puissant.
Créer une chorégraphie avec des mouvements comme ceux de Dil To Pagal Hai, sur une chanson en tamil, en telugu ou en anglais, ce n'est pas une tâche facile, mais qui peut être plaisante si on y met les efforts nécessaires.
Ainsi, Mouki a choisi cette chanson, tirée de l'un de ses films tamils préférés.
La chorégraphie raconte l'amour qu'éprouve une femme contre sa volonté et comment elle réussit à surmonter ses sentiments... ou pas.



Contexte de la chanson
Usure Poguthey est tirée du film tamil Raavanan (2010), mettant en vedette Aishwarya Rai Bachchan, Vikram et Prithviraj Sukumaran.
Veera (Vikram) est le chef d'un clan caché dans la forêt, un criminel, mais aussi le ravisseur de la femme du chef de la police locale, Dev Prakash (Prithviraj). Après la capture de Raagini (Aishwarya), Veera se décide à la tuer. Mais la jeune femme le prend de court en sautant d'une falaise, car elle refuse de mourir de sa main. Malheureusement pour elle, son suicide échoue, et le criminel la force à revenir parmi les siens.
Toutefois, tout au long de cette scène, la chanson suggère d'autres sentiments que la haine... Et si, après tout, Veera n'avait pas un cœur de pierre ?


En bleu : paroles originales
En noir : paroles traduites

Veera
Intha bhoomiliya eppa vanthu nee porantha
Depuis ta naissance, ton seul but

En buthikula theeporiya nee vethacha
A été de perturber mon esprit

Adi thaeku mara kaadu perusuthaan
Pour une immense forêt

Chinna theekuchi osaram sirusuthaan
Une allumette paraît insignifiante

Adi thaeku mara kaadu perusuthaan
Pour une immense forêt

Chinna theekuchi osaram sirusuthaan 
Une allumette paraît insignifiante

Oru theekuchi vizhuntha pidukuthadi 
Mais cela n'empêche pas une étincelle

Karunthaekumara kaadu vedikuthadi
D'incendier cette immense forêt

Usurae poguthey, usurae poguthey
Je meurs cent fois, je meurs cent fois

Odatha nee kondam suzhikayila
Quand je vois ces lèvres remuer

Oh... Maaman thavikiraen, madipicha kaekaraen
Oh... Je dépéris, mon amour, je t'en supplie,

Manasathaadi en manikuyilae
Donne ton cœur à ton amant désespéré

Akkarai cheemaiyil nee irunthum 
Tu es si loin, innaccessible,

Aiviral theenditha nenaikuthadi
Pourtant j'aspire à te toucher

Agini pazhamunu therinjirunthum
Je sais que tu es un incendie

Adikadi naaku tudikuthadi
Et pourtant je rêve de t'embrasser

Odambum manasum thooram thooram
Mon cœur ne tient pas en place, il ne m'écoute pas

Otta ninaika aagala
Même si je veux le calmer

Manasu sollum nalla solla
Même si mes pensées sont claires

Maaya odambu kaekala
Mon corps ne m'écoute pas

Thaviya... Thavichu...
Je dépéris... Je te désire...

Osur thadam kettu thiriyudadi
J'ai perdu le contrôle de mes sens

Thayilanguruvi enna thalli ninnu theeruma
Même les oiseaux se moquent de ma misère

Adi manthirichu vitta kozhi maaruma
Pourrai-je un jour t'oublier et briser le sortilège ?

En mayakatha theethuvechu manichudumaa..
Épargne-moi, sors de ma tête !

Santhiranum sooriyanum suthi orae koatil varuguthey
Le Soleil et la Lune me tourmentent à l'unisson

Sathiyamum pathiyamum ippa thalaisuthi kedakuthey
J'ignore ce qui est bien ou mal, je délire totalement

Usurae poguthey, usurae poguthey
Je meurs cent fois, je meurs cent fois

Odatha nee kondam suzhikayila
Quand je vois ces lèvres remuer

Oh... Maaman thavikiraen, madipicha kaekaraen
Oh... Je dépéris, mon amour, je t'en supplie,

Manasathaadi en manikuyilae
Donne ton cœur à ton amant désespéré

Akkarai cheemaiyil nee irunthum
Tu es si loin, innacessible

Aiviral theenditha nenaikuthadi
Pourtant j'aspire à te toucher

Agini pazhamunu therinjirunthum
Je sais que tu es un incendie

Adikadi naaku tudikuthadi
Et pourtant je rêve de t'embrasser

Intha olagathil ithu onnum puthusulla
Peu de gens échappent à la douleur de l'amour

Onnu rendu thappi pogum ozhukathula
Ce n'est pas quelque chose de nouveau

Vithi solli vazhi poataan manasupulla
Peut-être que les désirs du cœur sont prédestinés

Vithi villakillatha vithiyumilla
Mais rien n'est totalement prévisible

Etta irrukum sooriyan paathu mottu virikkuthu thaamara
Pour le lointain Soleil levant, la fleur de lotus s'ouvre avec ardeur

Thottu vidatha thooram irunthum sontha banthamum pogala
Même séparés, leur lien d'amour est inébranlable

Pambaa vizhutha oru paggubadu theriyalayae
Il est difficle de savoir si l'amour est un serpent ou un morceau de bois

Pamba irunthum nenju bayapada nenaikalayae
Mais même s'il s'agit d'un serpent, pourquoi n'en ai-je pas peur?

En katayum oru naal saayalam en kannula un mugam poguma
Je serai du bois mort un jour, mais ton souvenir brillera dans mes yeux

Naa kanukulla un nenanapu manasukulla
Je redeviendrai poussière, mais mon cœur continuera à chanter ton nom

Santhiranum sooriyanum suthi orae koatil varuguthey
Le Soleil et la Lune me tourmentent à l'unisson

Sathiyamum pathiyamum ippa thalaisuthi kedakuthey
J'ignore ce qui est bien ou mal, je délire totalement

Usurae poguthey, usurae poguthey
Je meurs cent fois, je meurs cent fois

Odatha nee kondam suzhikayila
Quand je vois ces lèvres remuer

Oh... Maaman thavikiraen, madipicha kaekaraen
Oh... Je dépéris, mon amour, je t'en supplie,

Manasathaadi en manikuyilae
Donne ton cœur à ton amant désespéré

Akkarai cheemaiyil nee irunthum 
Tu es si loin, innaccessible

Aiviral theenditha nenaikuthadi
Pourtant, j'aspire à te toucher

Agini pazhamunu therinjirunthum
Je sais que tu es un incendie

Adikadi naaku tudikuthadi
Et pourtant je rêve de t'embrasser

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